Quelques exemples d'arnaque
Le monde du time-sharing recèle de vendeurs peu scrupuleux qui n’hésitent pas à faire usage de pratiques de vente trompeuses et agressives pour vous convaincre de conclure un contrat peu avantageux voire pour vous arnaquer. Outre la problématique de la revente, Le CEC Belgique met en lumière quelques exemples d’arnaque courante :
Billets à gratter ou voyages « gratuit »
On vous donne sur la plage un billet à gratter gagnant, dont le prix est à aller chercher dans un magnifique complexe de vacances ? Vous recevez un e-mail vous informant que vous êtes l’heureux vainqueur d’un voyage à prix dérisoire dans une résidence de vacances luxueuse ? Soyez sur vos gardes.
Ces « cadeaux » peuvent rapidement s’avérer empoisonnés. Une fois, sur place, vous devez assister à une réunion d’information interminable au cours de laquelle des vendeurs habiles vous noient d’arguments afin de vous convaincre d’acheter un time-sharing. Ces vendeurs vous mettent sous une énorme pression en vue d’obtenir à l’usure votre signature.
Ne vous laissez pas aveugler par ces prix alléchants. Vous risquez de vous retrouver avec un time-sharing acheté au prix fort et qui vous lie pour une période extrêmement longue.
Bureaux d’avocats fantômes
Vous êtes en litige avec un société de vente ou de revente de time-sharing ? Méfiez-vous des avocats qui vous contacteraient de leur propre initiative pour vous proposer de défendre vos droits. Ceux-ci vous appâtent en vous promettant d’obtenir en justice des indemnités considérables. Pour ce faire, ces escrocs vous demandent de payer une avance sur leurs honoraires avant de disparaître.
Ne vous laissez pas séduire par les promesses de ces pseudo-avocats. Vous risquez de perdre des sommes considérables sans pouvoir résoudre votre litige.